Sondage : les Canadiens encore très réticents face aux véhicules électriques

 

Un autre sondage, un autre son de cloche différent sur la relation des consommateurs canadiens avec les véhicules électriques (VÉ).

Celui-ci vient de J.D. Power qui, après avoir tâté le pouls de près de 3 000 Canadiens en mars et avril 2024, nous apprend que seulement 11% des acheteurs de véhicules neufs sont « très susceptibles » d’envisager un VÉ lors de leur prochain achat, soit une baisse de trois points de pourcentage par rapport à 2023. Étonnamment, c’est deux fois moins que les acheteurs américains (24%) dans la même situation.

Le fort sentiment de résistance à la grandeur du pays est attribuable aux craintes liées à l’autonomie et à la disponibilité des bornes de recharge de même qu’aux prix d’achat qui demeurent élevés – encore les trois mêmes obstacles majeurs pour l’adoption massive des VÉ.


« Les constructeurs automobiles misent leur avenir sur les VÉ et investissent des sommes massives dans les installations de fabrication de batteries au Canada, mais la réalité est qu’ils sont encore beaucoup plus chers que les véhicules à essence comparables et qu’il faut davantage d’éducation pour aider les acheteurs à se sentir à l’aise pour faire la transition », explique le directeur du service automobile chez J.D. Power Canada, J.D. Ney.

Ce dernier reconnaît qu’il faut un certain temps pour s’attaquer au problème de l’accessibilité financière, mais déplore le fait que 52% des consommateurs au Canada n’ont jamais monté à bord d’un VÉ, ce qui limite la considération d’achat.

 

Toujours selon le sondage de J.D. Power, 72% des acheteurs canadiens déclarent qu’il est « très improbable » ou « peu probable » qu'ils envisagent un VÉ pour leur prochain achat, une hausse de cinq points de pourcentage par rapport à 2023 et de 18 points de pourcentage par rapport à 2022.

Enfin, sans aucune surprise, les provinces offrant des programmes incitatifs affichent les taux de considération les plus élevés. Le Québec arrive en tête : 40% des répondants au sondage ont manifesté un intérêt pour l’achat d’un VÉ. Vient ensuite la Colombie-Britannique avec une proportion de 33%.



------
Source  :  GuideAutoWeb.com, par Guillaume Rivard
------

Le Québec possède les ressources pour opter vers ce changement mais ce qui nous bloque est et restera toujours le prix, 60 000 pour un véhicules qu'il soit nucléaire électrique au charbon ou essence c'est hors de porté pour environ 70 % des acheteurs qui sont déjà endetté avec autre chose.

Il me reste 2 paiement a faire sur ma voiture et j'ai terminé et je compte pas changer de voiture je vais l'entretenir et le réparer quand ca sera le temps, pendant ce temps la je continue a déposer le même montant a la banque comme si je continuait a payer ma voiture a tout les mois et quand je vais prendre ma retraite je vais en acheter une cash......a essence

Tu peux mettre ton épargne à l'abris de l'impôt dans un CELI (Compte épargne libre d'impôt). 

C'est toujours bon d'avoir un «coussin» financier quelque part, en cas de pépin. 

Je pense qu'une des plus abordables, c'est la nouvelle Kona électrique : 



Malgré l'aide gouvernementale, ça revient assez cher. 

Je ne veut pas m'embarquer dans un autre paiement, les années qu'il me reste a travailler sont pas aussi certaine que je prévoyais , il en reste peut-être moins que je pensais et je devrait mettre le plus d'argent possible de coté a partir de cet été.

Ma pension ne sera pas terrible et je n'aurait pas d'autre véhicule a ma retraite a part celui que ma femme aura, on va en avoir un seul et comme elle en a de besoins pour travailler aussi bien dire que je vais être a pied la plus part du temps.

C'est ma façon de contester l'augmentation  de la mairesse de Montréal pour l'immatriculation

Cette mairesse aura déçu, j'espère que le ou la prochaine feront mieux. 

Pour l'auto, je peux te comprendre, parce que c'est une grosse dépense, et à la retraite on roule passablement moins. 

Je pensais remplacer ma Soul, mais je ne suis pas sûr que ce soit une bonne chose, vu le fait que je ne roule pas tellement. 

Elle pourrait sûrement durer encore une couple d'années sans donner trop de troubles, sauf l'entretiens régulier bien sûr.

Pour ce qui est du «coût de la vie» à la retraite, ça change vite, parce que tout augmente. 

Les années Trudeau, auront fait mal au pouvoir d'achat, et son immigration de masse appauvrit la province.