Véhicules électriques : le prix limite du rabais enfin haussé à 65 000 $ au Québec

 

Le gouvernement de la CAQ en avait fait une promesse lors du Salon du véhicule électrique de Québec en avril 2022. Un an plus tard, il passe de la parole aux actes.

Le programme Roulez vert, qui vise à favoriser l’adoption des véhicules électriques dans la province au moyen de subventions, a été mis à jour cette semaine. Le seuil maximal du prix de détail suggéré par le fabricant (PDSF) pour qu’un véhicule électrique neuf soit admissible est rehaussé de 60 000 $ à 65 000 $.

Cette condition s’applique rétroactivement à tous les véhicules admissibles et immatriculés depuis le 1er avril 2022.

Dans les prochains jours et les prochaines semaines, de nouveaux modèles seront progressivement ajoutés à la liste des véhicules admissibles qu’on peut retrouver sur le site web du programme Roulez vert. On peut par exemple penser au tout nouveau Lexus RZ, dont le PDSF de base est de 64 950 $.

 

Pour ce qui est des subventions en soi, elles demeurent à 7 000 $ pour les véhicules 100% électriques, à 5 000 $ pour les hybrides rechargeables (ou 2 500 $ si la capacité de leur batterie à haute tension n’atteint pas 15 kWh) et à 3 500 $ pour les véhicules électriques d’occasion.

Le gouvernement du Québec a par ailleurs profité du Salon du véhicule électrique de Montréal qui s’est ouvert vendredi pour annoncer qu’il augmente son objectif de véhicules électriques sur les routes de la province à 2 millions d’ici 2030. C’est 400 000 de plus qu’auparavant.

 

Subventions pour bornes de recharge

Autre changement qui entre en vigueur via Roulez vert : les bâtiments de trois ou quatre logements construits avant le 1er octobre 2018 sont désormais admissibles à une aide financière pour l’acquisition et l’installation de bornes de recharge. Les montants maximaux peuvent atteindre 49 000 $ par demandeur selon le type de bâtiment.

La même subvention peut être obtenue pour l’acquisition et l’installation de bornes de recharge au travail.

L’aide financière accordée par Québec pour les bornes de recharge à domicile de 240 volts reste toutefois à 600 $.






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Source : GuideAutoWeb.com, par Guillaume Rivard
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La volonté y est mais pas les moyens, même si on veut acheter une voiture électrique demain c'est 2 ans d'attente et le problème des bornes reste entier, juste a penser si vous habiter comme sur la rue Sherbrooke a Montréal il est impossible d'installer aucune borne nu part la ville a pas été préparer pour cela.

C'est un vrai problème les bornes de recharge parce que même si la ville vient a bout d'en poser partout ca va amputer les rue de quelques pieds en largeur partout, déjà que le stationnement y est très difficile si on commence a couper sur l'espace pour poser des bornes et actuellement les bornes sur rue sont déneigée a la main, on ne peut pas se payer de bornes tout partout a Montréal sans les entretenir en hiver ca aucun sens.

Ensuite celui qui possède une voiture a essence ne pourras plus se stationner nul part a cause des bornes qui seront réservé pour les voiture électrique, la transitions se fera de façon catastrophique.

Je prie le bon dieu de ne pas vivre cela et de quitter la ville a ma retraite.

Des bornes en plein ville ... j'ose même pas y pensé, t'imagine tu avec les hivers   les rues a moitié déblayé ou des bornes enterré...des auto stationné tout croche sur les rues  

La seule chose que je verrait serait de faire comme dans le temps avec le cinéparc, tu pose des bornes partout dans les centres d'achat entre les rangé et tu projette un film plate après 9.00PM 

Sérieusement les centres d'achat devrait devenir des centre de recharge, tu va magasiner tu branche ton auto sur la borne rapide ca te coute $20.00 et tu est chargé pour la semaine.....mais non on va se casser la tête ca c'est trop simple et tout le monde y a déjà penser avant moi


Moi tu met des bornes comme ca et je change mon auto demain matin.

Les bornes seront de plus en plus répandues, et on peut espérer que le temps de recharge sera aussi plus court.

Malgré tout, je ne pense pas que les objectifs de 2030, et 2035, seront respectés, parce que ça va venir vite, et que les manufacturiers ne sont pas capable de répondre à la demande.